Chapitre 1016
– Porc ? Il faut demander à ta mère où elle l‘a acheté !
Mme Xavier a regarde Mireille et lui a demandé en fronçant les sourcils :
– As–tu acheté la viande de porc au marché noir ?
Mireille a immédiatement secoué la tête et a dit :
– Non, c‘est impossible, j‘ai vu de mes propres yeux que le vendeur a tranché la viande d‘une moitié d‘un cochon, il n‘y a
absolument pas de problème ! En entendant cela, Vivian a demandé faiblement : – Et la farine ? Y a-t–il des problèmes avec la
farine des galettes ? Mireille a secoué la tête de nouveau et a dit :
– La farine ne pose aucun problème, nous l‘avons déjà mangée il y a quelque temps. Puisque la farine et la viande de porc ne
posaient tous aucun problème, se pouvait-il que le problème réside dans les poireaux ? En y pensant, Mireille ne pouvait
s‘empêcher de dire: – Eh bien, il doit y avoir un problème avec les poireaux, peut–être que les poireaux contiennent des résidus
de pesticides ! Mme Xavier a dit en fronçant les sourcils :
– Non, il ne peut pas y avoir de problème avec les poireaux frais, de plus, Hugo a bien lavė les poireaux, même s‘il y a des
résidus de pesticides, cela a dû s‘effacer à l‘eau. Hugo a dit :
– Oui, j‘ai lavé bien soigneusement chaque poireau ! À l’issue d‘un échange de vues animé, les Xavier ne trouvaient toujours
pas où résidait le problème.
Le médecin ne pouvait que dire, impuissant :
– Puisque vous ne connaissez pas pour l‘instant la cause d‘intoxication alimentaire, je ne peux que vous laisser attendre encore
un moment, parce que je vais faire l‘analyse de votre sang et de votre sécrétion au laboratoire. Une fois que les résultats en
tombent, je saurai tout de suite ce qui vous a empoisonnés.
Mme Xavier a hoché la tête et a dit faiblement :
– D‘accord, merci ! Au bout d‘environ une heure, le médecin est revenu avec quelques fiches d‘analyse à la main. En entrant, il a
dit aux Xavier : – Les résultats des analyses sont tombés, vous êtes tous les cinq intoxiqués par la narcissine de la jonquille, et
le degré d‘intoxication est assez haut. Comment ça s‘est passé ? Vous plantez beaucoup de jonquilles dans la maison ?
En entendant cela, Mme Xavier a froncé les sourcils et a demandé, stupéfaite :
– La narcissine de la jonquille ? Qu‘est–ce que c‘est ? – C‘est une sorte de plante décorative, a répondu le médecin, la jonquille
ressemble bien au poireau quand elle ne fleurit pas, donc chaque année de nombreux gens la inangent par erreur.
–. Cela dit, le médecin a sorti son téléphone portable et a montré des photos de jonquilles à Mme Xavier.
Quand Mme Xavier a vu les photos, elle a immédiatement changé de visage et a dit d‘une voix tremblante :
– C‘est... c‘est exactement le poireau que Clément vient de planter aujourd‘hui ! Je ne m‘attendais pas à ce que ce soit en fait la
jonquille ! Sur ce, elle a grondé avec colère : – Oh merde! Comme Clément est méchant! Le médecin a demandé avec
étonnement: – Qu‘est–ce qui se passe? Quelqu‘un vous a empoisonnés ? Si oui, dépêchez–vous d‘appeler la police ! Hugo a
aussi grondé furieusement:
– Oui, grand–mère, nous devons appeler immédiatement la police ! Il faut absolument envoyer ce maudit Clément à la prison !
Mme Xavier, folle de colère, a aussitôt sorti son téléphone portable et a appelé la police. À peine le contact établi, l‘opérateur a
immédiatement demandé au téléphone: – Allô ? Ici le poste de police, il y a un problème ?
Mme Xavier a immédiatement dit:
– Oui, monsieur, les cing membres de ma famille ont été empoisonnés ! J’appelle pour demander à votre police d‘attraper ce
bâtard qui nous a empoisonnés ! En entendant cela, l‘opérateur s‘est immédiatement énervé et a demandé : – Qu‘est–ce qui
s‘est passé ? Pourrais–tu m‘en dire plus? Mme Xavier a dit avec colère :
– Ce bâtard s‘appelle Clément et vit dans la Villa A05 du Quartier Glitact, il a planté des jonquilles à la maison et les a fait passer
pour des poireaux !
– J‘ai cueilli des jonquilles de sa maison cet après–midi pour faire des galettes, mais après avoir mangé ces galettes, toute ma
famille a été empoisonnée et maintenant, nous sommes tous allongés à l‘hôpital ! Monsieur, tu dois nous rendre justice!