Chapitre 1040
– D‘accord !
Le vieux Dimitri a hoché la tête et a dit :
– Alors je laisserai les Huit Maîtres aller à la la Montagne Blanc cette nuit, dis au pilote de préparer le jet privé. Mathieu a
demandé avec surprise : – Papa, ce n‘est pas aussi urgent que cela n‘est–ce pas ? Le vieux Dimitri a dit sérieusement : – Il faut
attaquer l‘ennemi par surprise, ils viennent de tuer 15 parmi nos hommes, ils doivent donc certainement penser que nous ne
reviendrons pas à la charge avant un moment, c‘est pourquoi nous devons envoyer les Huit Maîtres cette nuit, et faire en sorte
que les Huit Maîtres les prennent au dépourvu avant demain matin !
Mathieu a hoché la tête après avoir entendu les éclaircissements de son père. Il avait honte dans son coeur en ce moment–là,
car ses compétences n‘arrivaient vraiment pas à la cheville de celles de son père. Le vieux Dimitri était vraiment un très grand
stratège. Ensuite, Mathieu a passé immédiatement un appel pour que leur jet privé famille puisse être prêt à décoller au bout
d‘une heure.
Le vieux Dimitri a également appelé le chef des Huit Maîtres à venir le voir.
Cet homme avait déjà plus de 60 ans cette année–là, mais parce qu‘il passait tout son temps à pratiquer les arts martiaux, il
semblait n‘avoir que 40 ans.
Le vieux Dimitri la rencontré quand il était jeune et cet homme l‘a aidé pendant de nombreuses années, le vieux Dimitri le
considérait également comme quelqu‘un qui lui était très cher et était très respectueux envers lui.
On pouvait dire qu‘ils étaient employeurs et employés, amis et frères, et qu‘ils s‘appréciaient et se respectaient beaucoup
mutuellement.
Après que le vieux Dimitri a fini de lui dire ses instructions, cet homme a légèrement serré le poing et a dit froidement :
– Ne vous inquiètez pas, moi et mes hommes ramèneront certainement à la Cité S ces deux hommes retenus prisonniers, et en
même temps nous tuerons tous les hommes qui les retiennent prisonniers à la montagne Blanc, tous sans exception ! –
D‘accord!
Le vieux Dimitri a senti qu‘il avait finalement récupéré un peu de vitalité et a dit avec un léger sourire : – Alors je vous attendrai à
la Cité S pour vous offrir un accueil à la hauteur de votre futur exploit!
Après cela, le vieux Dimitri a ordonné à Mathieu :
– Mathieu, va immédiatement à la Cité X et achète des bouteilles de leur meilleur vin rouge. Achete–en autant que tu peux afin
que nous puissions réserver un accueil digne de ce nom aux Huit Maîtres.
Cet homme qui s‘appelait Porthos a serré les poings et a dit : – Après tant d‘années, vous vous souvenez encore de mes choses
préférées, et je vous en suis très
reconnaissant.
Le vieux Dimitri a dit à la hâte :
– Pas besoin de m‘en remercier. Toi et tes hommes êtes les gardiens de ma famille Pelletier et vous êtes l‘arme la plus
importante entre nos mains, ma famille ne rompera certainement pas la promesse que nous vous avions faite à l‘époque à
savoir que notre famille doit toujours vous réserver un traitement digne de votre statut de grand Maître ! Très vite, l‘avion arrangé
par Mathieu était prêt à décoller à l‘aéroport de la Cité S. Porthos a emmené les autres Maîtres avec lui à l‘aéroport de la Cité S
à bord d‘un Toyota Coaster. Les autres Maîtres étaient tous des condisciples de Porthos de moins d‘ancienneté. À l‘époque,
quand ils ont fini d‘étudier les arts martiaux, ils ont rencontré le vieux Dimitri. Ce dernier les a recrutés en échange d‘excellentes
conditions de vie et une rémunération généreuse, et ils ont accepté de servir loyalement le vieux Dimitri.
En ce moment–là, les Huit Maîtres portaient tous des chemises bleues et des chaussures mal cousues à la main, semblant aller
dans un endroit chaud pour y passer des vacances. Mais en fait, ils allaient à la Montagne Blanc, où les températures pouvaient
atteindre des dizaines de degrés en dessous de zéro.
Mais ces Huit Maîtres étaient super bien entraînés, ils avaient une force intérieure extraordinaire, et le froid ne constituait pas
une menace pour eux, donc même s‘ils ne portaient pas des habits d‘hiver, ils n‘avaient aucune crainte de se rendre à la
Montagne Blanc.
Sur le chemin, Porthos a gardé les yeux fermés et était en train de méditer. Quand il était sur le point d‘arriver à l‘aéroport, il a
ouvert les yeux et a dit aux autres Maîtres autour de lui : – Une fois à la Montagne Blanc, nous ne devons en aucun cas échouer
cette mission, nous devons non seulement libérer Albert et son fils sans que l‘un d‘entre nous y laisse sa vie, mais aussi nous
devons tuer tous les hommes qui les retiennent prisonniers, tous sans exception, et quand nous serons dans l‘avion plus tard,
vous devez tous méditer et bien vous préparer pour le combat, des têtes à faire tomber nous attendent à la Montagne Blanc !
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