Chapitre 1121
Clément trouvait également incroyable leur connaissance. S’il n’était pas allé à la boutique JQ avec Kyan, il n’obtiendrait jamais
le Manuel secret de Pan et dans ce cas, il ne serait jamais le Maître Clément d’aujourd’hui.
Il le savait bien, quand on l’appelait Maître Clément, c’était plutôt le respect envers ses compétences personnelles mais pas
celles de sa famille.
Clément tenait beaucoup à une telle rencontre qui donnerait un bel avenir en perspective. Peut–être qu’il était destiné à
rencontrer Gisèle et le manuel.
L’air sérieux, il a dit à Gisèle :
– Au fait, je préfère considérer notre connaissance comme le destin. C’est le destin qui oriente notre vie à quelque part.
A l’écouter, elle a eu les joues rouges et a demandé à voix basse :
– Tu veux dire que nous avons des affinités l’un avec l’autre, c’est ça ?
– C’est vrai, a souri Clément, il faut des affinités pour faire connaissance, et pour forger des amitiés comme la nôtre, il faut des
affinités plus profondes, non?
Gisèle a hoché la tête en signe de compréhension.
– Maître Clément, tu parles toujours d’un ton mystérieux. Je me demande si les génies comme toi croient en destin ou sort.
– Je n’en croyais pas avant, mais après avoir vécu autant, j’ai commencé peu à peu à en croire plus tard, s’est exclamé
Clément, c’est l’heure de changer de sujet, c’est un peu ennuyant ! Parlons de toi, quel est ton plan d’être la chef de ta famille ?
Gisèle a réfléchi sérieusement:
– A vrai dire, certains ne paraissent pas convaincus du fait je deviens la chef. Alors, j’ai encore besoin du temps pour consolider
mon statut et diriger en avant notre famille. J’obtiendrai certainement leur soutien si la famille se développe rapidement et que
mes proches font un profit sous ma direction.
Clément était d’accord avec elle :
– Tu as raison, c’est vrai qu’on ne tient qu’au profit. En fait, il y a une occasion en or pour les Poincaré tu sais, on témoigne la
chute des Pelletier, et la vacance de la première famille vous attend. Je pense que vous devez saisir cette occasion.
– Ouais, pendant cette période, je vais parler affaires pour établir des partenariats et
développer le commerce.
– Que puis-je faire pour toi ? N’hésite pas à me faire appel.
Gisèle s’est empressée de dire:
– Tu m’as aidée trop ! Je ne sais vraiment pas comment te récompenser ! Par contre, si un jour je suis utile pour toi, n’hésite pas
à me demander !
– Ne dis pas ce genre de chose. Je ne t’aide pas pour la récompense, mais pour notre amitié. Bien sûr, je vais demander de ton
aide si besoin.
– D’accord, j’ai compris, a répondu Gisèle.
– Gisèle, à ton retour, donne à ton grand–père la pilule de renouveau, il sera heureux.
–
– Je vois !
Clément lui a souri légèrement et a regardé la montre avant de proposer:
– Eh bien, il est tard, on doit rentrer. Je crois que ton grand–père t’attend maintenant. Gisèle en était réticente, car c’était rare de
passer le temps si tranquille avec lui, notamment dans son endroit favori depuis enfance.
Elle avait un grand désir de tenir sa main et d’avouer ses flammes pour lui. Cependant, le fait que Clément était déjà marié
étouffait son impulsion immédiatement.
Elle n’a dû que répondre d’un ton doux :
– D’accord, allons–y alors.