Chapitre 1164
Tout le monde était très choqué par l’arrivée de ces deux voitures.
Le propriétaire en est venu assister au mariage? Mais pourquoi ? Ça semblait impossible!
Après tout, les familles présentes étaient toutes de la classe moyenne, et même la famille Alban, la plus riche de toutes ces
familles, ne possédait qu’un capital de quelques millions d’euros.
Donc, comment auraient–ils pu connaître un personnage si riche ? À ce moment, sous les regards scrutateurs des Bettencourt,
Clément a ouvert la portière de la Bugatti Veyron et est descendu.
À sa vue, tout le monde était béant d’étonnement, parce que Clément paraissait vraiment très jeune ! Personne ne s’attendait à
ce que cette top voiture de sport appartienne à un homme si jeune.
Peu après, l’Aston Martin one 77 s’est arrêtée derrière la Bugatti
Veyron.
En raison de la lumière forte du jour et du film réfléchissant collé à la fenêtre de la voiture, on avait du mal à voir les gens assis
dans la
voiture.
Donc les Bettencourt ne pouvaient s’empêcher de fixer avec
curiosité leur regard sur l’Aston Martin, en attendant de voir qui en descendrait.
Clément est venu devant l’Aston Martin et a ouvert la portière.
Puis Clélie, vêtue de la robe de mariée faite par Lucrèce, est descendue de la voiture d’un air agité !
Les Bettencourt n’ont pas tout de suite reconnu Clélie, leur première pensée a été de savoir l’identité de cette mariée
transportée par
deux top voitures de sport.
Stanis restait aussi stupéfait pendant un moment, mais très vite, il a reconnu cette belle femme en robe de mariée. C’était
justement sa fiancée, Clélie !
Il s’est empressé de courir vers Clélie et a dit avec enthousiasme :
Clélie, enfin te voilà !
En l’entendant, les Bettencourt étaient tous très choqués !
Ce n’était qu’à ce moment–là qu’ils se sont rendu compte que cette mariée descendant de l’Aston Martin one 77 était Clélie,
pauvre fiancée de Stanis !
On connaissait bien la situation familiale de Clélie.
Les parents de Clélie étaient des oisifs, ils gagnaient leur vie en travaillant de temps à autre. Le frère de Clélie était aussi
glouton et paresseux.
De plus, cette famille venait d’un petit comté voisin de la Cité J, ce qui signifiait qu’ils n’avaient même pas une maison de valeur
dans la Cité J. On disait que la maison dans laquelle ils vivaient avait déjà plus de 20 ans et ne valait que 30 mille euros au
plus.
Les parents de Clélie voulaient toujours demander une grosse dot à la famille Bettencourt afin de payer l’acompte pour l’achat
de la maison de leur fils paresseux.
Au vu de tout cela, sauf Stanis, tous les Bettencourt méprisaient beaucoup Clélie.
Donc, ils ne s’attendaient vraiment pas à ce que cette pauvre Clélie soit venue en voiture de luxe!