Chapter 1399
L’avion atterri, on est arrivés.
Comme Lucile avait fait enregistrer bien des vêtements et des produits de beauté, elle attendait dans la zone de livraison des
bagages après le débarquement.
N’ayant qu’un petit bagage à main, Clément était sur le point de partir.
– Clément, comment tu pars après ? a demandé Lucile.
– Je vais prendre un taxi.
– Pourquoi pas m’attendre un peu et partir ensemble ? Ma famille me cherche en voiture, on peut te conduire.
Clément a vagué la main en souriant
– Merci Lucile, mais on est presse. Je dois partir en premier.
– Euh bien, a-t-elle marmonné, ok, mais n’oublie pas notre rendez-vous.
-Ok, a-t-il souri, je te laisse alors, à plus tard.
Après avoir pris congé, Clement est sorti de l’aéroport. Il s’est rendu au point de stationnement de taxis directement pour y faire
la queue.
A ce moment-là s’est approchée de lui en accourant une femme dans une doudoune portant un bonnet, un masque et des
lunettes de soleil. Avant qu’il ne puisse la reconnaitre, elle s’est jetée sur lui en poussant un cri de joie!
-Cher Clément !
La voix de Clothilde a fait à Clément baisser sa garde, la laissant rester dans ses bras.
– Mais je t’ai dit, pas besoin de me chercher ici. Il fait froid dehors.
– Parce que je veux te voir ! a-t-elle répondu d’un ton doux, à la maison, j’ai vraiment voulu partager avec mes parents ta visite,
donc je suis là! Mais tu dois faire attention aux paparazzis. Si les paparazzis découvrent que tu t’embrasses avec un homme à
l’aéroport, j’ai peur que ça nuise à ta réputation.
– Tut’inquiètes toujours hein! Clothilde s’est moquée, même si c’est le cas, j’admettrai que l’homme dans mes bras c’est mon
fiancé. Nuire à ma réputation? Laisse-le ! Après tout, je ne vis pas de ça, c’est seulement pour plaisir. Avec toi à mes côtés, la
carrière comme une star a perdu sa supériorité.
Face à un tel discours, Clément ne savait comment répondre, mais n’a changé de sujet.
–
– Alors, j’ai hâte à rendre visite à tes parents. As-tu conduit là ?
– Ouais, j’ai garé la voiture au parking. Allons pour la chercher !
En disant, elle a tenu le bras de Clément et l’a dirigé au parking.
Ce que Clothilde conduisait, c’était une Volvo médiocre et vieille. Après la monte, elle a décollé le bonnet et expliqué:
– En fait, les paparazzis connaissent la plupart de mes voitures, c’est pourquoi je conduis une telle vieille. J’espère que ça ne te
dérange pas. Clement a hoché la téte en signe de compréhension.
-Oh bien sûr que non. Tu sais, j’ai presque connu les misères. Après les années passées dans l’orphelinat et sur le chantier, je
me suis habitué à la gene financière. La richesse ou la pauvreté, tout ça m’est bien égal. Donc, c’est pas grave pour moi.