Big Novel

Chapitre 1489
Phors était au comble de l’indignation.
Il ne comprenait point pourquoi Clément était qualifié pour être respecté par Omer Benett. Pour le titre de maître du Fengshui ?
Mais jamais!
N’importe quoi, il n’avait plus du courage de poser ce genre de questions. Phors a reçu une leçon de se comporter docilement
devant un inconnu.
Ayant analysé la situation, Pétrick savait que l’invité le plus noble n’était pas Omer, mais ce type nommé Clément. Il a donc
demandé :
– Phors, présente tes excuses envers M. Clément vite!
Phors s’est senti désespéré à l’écouter. Maintenant, même ses proches ne se mettaient plus à son côté. Face à ça, malgré sa
rancune contre Clément, il a dû baisser la tête.

Je suis désolé, M. Clément. Veuillez me pardonner s’il vous plaît...
Clément a agité la main.
– Ce n’est pas grand–chose, je ne l’ai pas pris au sérieux.
Phors a poussé un soupir de soulagement, reconnaissant de son indulgence.
– Merci, M. Clément, vous êtes très gentil!
– Passons les formalités, hein, a poursuivi Clément, je te pardonne de ce qui s’est passé, mais quant à notre pari... il faut quand
même continuer. Tu ne veux pas manquer à ta parole, non ?
– Ah bon ?!
A ses mots, son humeur a touché le fond!

Il avait cru que cet éventail de Clément soit certainement un faux au prix bas, et que naturellement, il ne soit jamais plus cher
que son pendentif en jade.
Pourtant, la situation a été renversée maintenant.
L’attitude respectueuse d’Omer prouvait que Clément était une personne très importante aux yeux des Benett; dans ce cas, il
était probable que l’éventail dans ses mains, était vraiment un cadeau de Bitoric pour Clément !
Comme on l’avait présenté, Bitoric avait payé 4, 888 million d’euros pour ce tableau, et c’était plus cher de deux fois que son
pendentif !
Et le marché d’antiques prenait essor récemment, surtout celui des tableaux. Les œuvres de ce peintre devenaient de plus en
plus chères, et pire encore, on les vendait rarement sur les ventes aux enchères. C’était naturellement en raison de leur prix
augmentant sans cesse que les marchands préféreraient les garder plus longtemps jusqu’au ralentissement de l’augmentation
du prix.
En bref, les œuvres avaient les valeurs augmentant, et si Bitoric avait payé 4, 888 million d’euros pour cet éventail à l’époque,
cet éventail serait beaucoup plus précieux actuellement. Ainsi, le pendentif devenait de plus en plus loin de se
comparer avec ça.
Sachant tout ça, Phors a été effrayé. Si Clément insistait pour continuer le pari, il perdrait le pari et devrait avaler le pendentif...

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