Big Novel

Chapitre 1754
L’ordre se répétait.
Le commandant est sorti du poste et a dit :

– Nous sommes exigés d’ouvrir la porte sous la menace des canons.
La cabine était aussi dans le chaos. Certains allaient et venaient, certains tournaient en rond, certains fronçaient les sourcils
pour dénicher une solution. Ces cinquante personnes, comme cinquante cafards enfermés dans une bouteille, bondissaient de
panique.
Si soucieuse qu’elle soit, Lora savait bien qu’ouvrir la porte, c’était renoncer!
La mort des Sugawara a déjà énervé tout le Japon. Ils seraient sévèrement punis si Lora renonçait,mais le résultat de la
résistance serait encore plus grave: les forces spéciales enfonceraient la porte et les fenêtres avec une bombe à retardement, et
jetteraient des grenades aveuglantes et des grenades lacrymogènes dans la cabine.
Les premières, comme leur nom l’indique, elles pouvaient briller d’une manière éblouissante pour rendre les ennemis
instantanément aveugles. Quant à la grenade lacrymogène, coup double, elle faisait tousser sans cesse et faisait crier en
stimulant les yeux.
Si on jetait ces grenades à maintes reprises, les ennemis se rendraient volontiers en raison de ne plus en sousffrir.
Sombrant dans le désespoir, Lora a demandé à Igor:
– Monsieur, qu’est-ce qu’on peut faire...
Qu’est-ce qu’on peut faire....
Igor a répété la question de Lora, tout déçu.
Le noyau des Chappuis serait anéanti d’un seul coup ! C’était incroyable ! Quel coup fort! C’était impossible de récréer un
groupe comme ça dans quelques années à venir. Même si on y

que la arrivait, ça coûterait trop cher ! Le salaire d’un seul grade éminent était parfois plus haut somme des salaires de cents
personnes ordinaires. Tant de gardes, soit une dépense considérable. Encore plus ennuyeux, c’était la subvention élevée
annuelle pour les parents des gardes à condition d’être arrêtés. Le salaire et la subvention de plus d’un million de yuans en cas
d’accident ont conquis la fidélité sans faille des gardes. Compte tenu la situation maintenant, les familles des gardes seraient un
fardeau insupportable pour les Chappuis, mais pour assurer la fidélité des employeurs, les Chappuis ne devaient pas manquer à
leur promesse. Par conséquent, une énorme perte cette fois-ci!

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