Chapitre 1950
L’attitude de Shigekazu n’était plus la même qu’hier.
Aujourd’hui, il ne refusait pas directement l’offre de Gisèle; son attitude était ambiguë, il n’a dit ni oui ni non à la a demandé de
Gisèle, ce qui laissait cette dernière bien impuissante.
Les deux gens ont discuté jusqu’à la soirée, et Gisèle avait déjà concédé sa part des bénéfices à 65%, mais Shigekazu n’était
toujours pas d’accord.
Gisèle n’a pas eu d’autre choix que de dire:
– M. Shigekazu, si nous ne pouvons pas nous mettre d’accord, je propose que nous détenions chacun 50% des actions afin
d’avoir le même pouvoir de décision et que, si la coopération échoue, nous distribuerons tous les actifs restants de manière
égale!
Shigekazu a froncé les sourcils:
– Mlle Gisèle, une participation de 50 % de chaque côté signifie que personne n’a le dernier mot, alors s’il y a des désaccords
par la suite, comment les résoudre ? Personne n’a le dernier mot dans les décisions, et cela aura un impact sur la collaboration.
Gisèle a dit sérieusement:
– M. Shigekazu, j’espère qu’à l’avenir nous pourrons résoudre les problème, s’il y en a, tout en douceur, et j’espère que vous
partagez mon idée, sinon il sera difficile de développer la coopération.
Et puis elle a ajouté:
– Si vous voulez vraiment travailler avec le Groupe Poincaré, il n’y a pas de problème avec celui qui détient le pouvoir de
décision.
Shigekazu a dit d’un air gêné:
Mlle Gisèle, puisqu’il s’agit d’une coopération, je dois absolument prendre en considération les pires
situations.
Gisèle a dit:
– M. Shigekazu, nous avons chacun 50% des actions, je vous donnerai 5% de plus sur les recettes, c’est ma limite, si vous
pensez que vous pouvez travailler ensemble avec nous alors nous continuerons, si vous pensez que vous ne pouvez pas
l’accepter, je ne peux que vous dire que je suis désolée, alors c’est à vous de faire la décision.
Shigekazu n’a pas répondu, il a regardé l’heure et a dit
–
Mlle Gisèle, il se fait tard aussi, je dois rapporter vos conditions au président et demain au plus tard, je vous donnerai une
réponse définitive.
Gisèle a pris la parole:
– Très bien, M. Shigekazu, j’attends votre message!
Elle s’est levée, a tendu la main à Shigekazu et lui a dit poliment:
–
1. Shigekazu, nous allons rentrer à l’hôtel et s’il y a des problèmes, veuillez me contacter en premier.
Shigekazu a acquiescé et a souri,
– Pas de problème, soyez patiente.
Gisèle a quitté l’immeuble de l’Entreprise Xirian avec ses assistantes.
A ce moment-là, Gisèle avait des sentiments très partagés.
Gisèle ne pouvait plus céder sur les conditions de la collaboration, et si les dirigeants de l’Entreprise Xirian ne parvenaient
toujours pas à se mettre d’accord, ce projet finirait par un échec.
Dans le bâtiment de l’Entreprise Xirian.
Shigekazu regardait Gisèle quitter le bâtiment et monter dans un véhicule, quand il a esquissé un sourire cruel et a décroché
son téléphone portable pour passer un appel.
Dès que l’appel a été passé, il a dit:
Cédric, votre cousine devrait être ennuyée maintenant, le moment est venu pour toi de le faire ce soir, et après ce soir, votre
cousine disparaitra complètement de ce monde !
La voix de Cédric s’est fait entendre au téléphone:
– Haha, M. Shigekazu, alors c’est à vous!