Chapitre 2806
Roméo était furieux de savoir qu’Édouard l’avait trahi. Il a pointé Édouard du doigt et a juré :
–
Si j’avais su que tu étais si sournois, j’aurais dû te tuer, toi et ton arrière–petit–fils, lors de notre dernière rencontre au cimetière
de la Montagne Fennequin !
Édouard a dit d’une voix froide :
– Roméo, tu as tué tant de gens, même des gens ordinaires que tu n’as pas épargnés, et tu m’accuse? Tu es vraiment
impénitent!
Édouard s’est tourné vers Clément, et a dit respectueusement:
Maître Clément, Roméo a fait beaucoup de mauvaises choses auparavant, il devrait être condamné à mort, si vous le tuez
aujourd’hui, ce sera une bonne chose pour tout le monde !
Roméo a été choqué en entendant les mots d’Édouard, il a vu le visage froid de Clément, et a vraiment eu peur dans son cœur.
Roméo a passé toute sa vie à élever le Gu. En s’appuyant sur son seul et féroce Gu, il ne savait pas combien de maître d’arts
martiaux il a tués. Par le passé, même si ces maître d’arts martiaux étaient extrêmement forts, ils étaient tout simplement
incapables de résister face à son Gu. Cependant, c’était la première fois qu’il voyait quelqu’un comme Clément, qui pouvait
frapper son Gu à cet état.
Il était donc évident que Clément était très fort. De plus, le principal moyen d’attaque de Roméo était son Gu. Une fois son Gu
épuisé, il était comme une vipère dont on avait arraché les dents, et était loin d’être l’adversaire de Clément.
Roméo a reconnu la réalité, il a regardé Clément et l’a supplié :
– Tout est de ma faute, je ne savais pas que tu étais si puissant, si je l’avais su, je ne serais certainement pas venu te déranger!
Clément a ri froidement :
Il est un peu tard pour que tu t’avoues vaincu maintenant, tout à l’heure tu étais si féroce avec moi et tu as dit que tu voulais que
j’expérimente le sentiment d’avoir le cerveau mangé et que j’étais ignorant ! Pourquoi es–tu comme ça maintenant ? Allez–y, je
veux savoir si ton Gu peut manger mon cerveau !
Roméo a regretté à l’extrême.
« Quoi ? Si je laisse mon Gu t’attaquer de nouveau, non seulement mon Gu sera tué par toi, mais ma vie non plus !>>
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Cependant, Roméo n’a pas osé réfuter Clément, il a levé la main et s’est frappé violemment le visage tout en s’étranglant:
–
Error
– Tout est de ma faute ! C’est moi qui ai commis la grave erreur de ne pas vous reconnaître ! S’il vous plaît, Maître Clément,
pour l’amour de Dieu, épargnez–moi cette fois, et je retournerai en Angleterre immédiatement, et ne retournerai plus jamais au
Pays C de ma vie !
Clément a secoué la tête et a ri froidement :
Le Pays C n’est pas un endroit où l’on peut aller et venir quand on veut, je me fiche du nombre de personnes que tu as tuées et
des mauvaises choses que tu as faites à l’étranger, mais maintenant que tu veux tuer des gens dans la Cité J, je ne pourrai
jamais te pardonner!
Roméo a dit :
Maître Clément, j’ai seulement tué un garde à la Montagne Fennequin dans la Cité J, ce n’était pas un gros bonnet, je vous prie
de m’épargner en prenant au sérieux mon repentir sincère, et à l’avenir Maître Clément, si vous avez des besoin, je vous
fournirai certainement de l’aide !
Clément l’a interrogé d’un air froid:
–
-Les gardes ne sont–ils pas des êtres humains? La vie d’un garde n’est–elle pas une vie? Si l’on a tué un homme, on doit payer
le prix correspondant, c’est comme ça depuis les temps anciens, je me fiche de savoir quel genre de personne tu as tuée !
Roméo a vu l’expression ferme de Clément et a su qu’il risquait d’avoir de gros ennuis aujourd’hui.
Il a rapidement analysé la situation dans son esprit :
« Pour l’instant, Clément veut évidemment me tuer, il ne change pas d’idée même si je le supplie, dans ce cas, je ne peux que
faire tous les efforts pour m’en sortir!»
L’expression de Roméo est devenue froide, il a regardé Clément et a dit en pensant à cela:
Toi et moi ne sommes pas des gens ordinaires, en effet, nous aurions dû dans le même champ, puisque tu es maintenant
déterminé à me faire mourir, alors je ne te laisserai pas t’en sortir non plus!
Le pied de Clément était sur le corps du Gu, et il y a piétiné encore un peu plus fort. A ces mots, il a dit avec dédain:
– De quoi d’autre es–tu capable, n’hésite pas à le montrer.
Roméo a dit:
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–
Tu m’as forcé à faire ça !