Chapitre 309
Tout le monde le savait, c’était dégoûtant de lécher l’urinoir, mais ça ne menaçait pas la vie. Au contraire, si l’on buvait cinq kilos
de parfum, mėme les dieux ne pourraient pas le sauver. Bien qu’Albert et Vivian s’en fichent de tout, ils ne voulaient pas jouer
avec leur vie. Tant qu’ils pouvaient survivre, de lécher l’urinoir n’était rien. Ils pourraient simplement se brosser les dents une
dizaine de fois. En entendant leur choix, Dominique a ordonné aux agents de sécurité :
– Trainez-les aux toilettes des hommes et laissez-leur lécher l’urinoir. S’ils osent laisser des taches, battez-les comme plâtre !
Les agents de sécurités les ont trainés comme des cadavres jusqu’aux toilettes des hommes au premier étage. Dominique a dit
à Clément respectueusement:
– Maitre Clément, voulez-vous y aller superviser leur travail ? Clément a hoché la tête en disant:
– Bien sûr, c’est intéressant et je ne peux pas le manquer Puis, Dominique a conduit Clément vers les toilettes avec toujours
beaucoup de respect. Les toilettes publiques du premier étage étaient très grande, avec un total de seize urinoirs sur les deux
murs. Quelques agents de sécurité ont poussé Albert et Vivian vers l’un des urinoirs et leur ont dit froidement : – Qu’est-ce que
vous faites là ? Dépêchez-vous de le lécher !! Albert a tiré la langue en frissonnant, mais il a toujours hésité à avancer.
Les toilettes du Club Gloire étaient toujours très propres. Néanmoins, les urinoirs étaient quand même les lieux où les gens
urinaient. Avec le parfum, on ne sentait pas les mauvaises odeurs dans les toilettes. Quand Albert s’est approché l’un des
urinoirs, il a senti une forte odeur de l’urine qui le faisait vomir.
L’odeur a dégouté et étourdi aussi Vivian qui a failli s’évanouir. 1
Voyant que les deux trainaient encore, Dominique a dit froidement : . -Si vous continuez à trainer, je vous ferai lécher encore la
cuvette des toilettes !
En entendant ses mots, Albert et Vivian n’ont jamais eu une telle peur. Le premier a finalement repris le courage de mettre sa
tête dans l’urinoir en porcelaine blanche. Il a tiré la langue et en a léché une petite part, puis a immédiatement vomi.
Vivian n’a pu que le suivre et en a léché un autre part les yeux fermés. Albert avait une mine atroce. Il a regardé Dominique et l’a
supplie: -Dominique, nous l’avons déjà léché. Pouvez-vous nous laisser partir maintenant ? Dominique a tourné la tête vers
Clément et lui a demande :
– Maitre Clément, puis-je les laisser partir ?
Clément a croissé les bras et a ricané: – Ne me dupez pas. Vous pensez que ça suffit d’y mettre la langue ? C’est une blague ?
Dominique a immédiatement dit : – Maitre Clément, que voulez-vous dire alors ? Clément a dit en désignant du doigt tous les
selze urigoirs aux toilettes :
– Ils doivent en lécher chacun huit. C’est une répartition des tâches équitable. Chacun doit bien nettoyer ses urinoirs de
l’intérieur à l’extérieur avec la langue. Aucune tache ne peut être laissée !
Tout le monde a été abasourdi par ses mots.
Maitre Clément est trop impitoyable Chacun leche huit urinoirs ?
Les urinoirs Kohler ici, grands et élégants, mesuralent 1,2 mètre de haut. Lécher un était déjà insupportable, sans parler d’en
lécher huit.
Albert a craqué en entendant ce qu’a dit Clément. Vivian a pleuré et l’a supplié à genoux : – Clément, tu es mon beau-frère,
épargne-moi cette fois pour mon ignorance, d’accord ? Albert a également croisé ses mains et a continue à supplier : – Maitre
Clément, vous êtes généreux. Laissez-nous la vie... Clément a hoché la tête et a dit :
– Je n’ai pas dit que j’allais vous tuer. Vous pouvez partir immédiatement après finir de nettoyer ces seize urinoirs.