Chapitre 3184
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Les paroles de Bitoric ont bouleversé Clément. Lorsqu’il pensait à son père quittant la Cité Y en pleine déception et mourant à la
Cité J, il semblait avoir le cœur brisé.
Dans le passé, il ne voulait pas trop s’impliquer avec les Huet car il savait que la relation entre son père et les Huet se trouvait
dans une mauvaise situation, et que même les Huet étaient en partie responsables de la mort de ses parents. Les mots de
Bitoric lui ont fait comprendre que son père avait toujours souffert de la méfiance de sa famille à son égard et qu’il voulait
toujours fane prendre l’essor par la famille Huet.
Comme l’a dit Bitoric, en tant que fils de son père, il devait non seulement demander la justice pour lui, mais aussi continuer son
chemin, afin de consoler son âme !
Clément s’est servi un grand verre de vin, l’a levé et a dit solennellement à Bitoric: Je vais continuer le chemin de mon père pour
devenir le chef des Huet, et rendre les Huet les plus puissants.
En disant cela, il a ajouté d’un air sombre:
–
Je vais obliger les Huet à se soumettre à moi !
Bitoric, excité, s’est levé en beuglant
N’oublie jamais que tu es le fils de Méverin ! Tu dois soumettre toutes les grandes familles ! Que les Huet, les Chappuis, les
Rothschild te vénèrent ! J’espère que je pourrai vivre assez longtemps pour voir ce moment !
Cette nuit à la Cité Y, beaucoup de gens tombaient dans l’insomnie.
Clément était couché dans son lit et pensait à la façon de devenir le chef des Huet et à la façon de rendre les Huet plus
puissants que les autres. En même temps, il pensait au propriétaire du Dragon Noir, Quentin, qui n’est pas encore apparu, et il
savait que le but de Quentin était cette fois–ci la cérémonie d’offrandes aux ancêtres des Huet. Il supposait donc que demain,
apres–demain au plus tard, Quentin se présenterait. En même temps, c’était une occasion pour lui. Puisque les Huet se sont
développés solidement sous la direction de Didier pendant tant d’années, et s’il usurpait le pouvoir sans raison, il risquerait
d’être révolte, et Quentin était la meilleure excuse ! Dans cette optique, Clément a marmonné:
– Laisse Quentin jouer d’abord, et quand il fait trembler les Huet, c’est là que je prends la succession !