Big Novel

Chapitre 3781
A ces mots, Sétrien a éclaté de rire, en ayant confiance en soi. Mais, il a dit en faisant un signe de la main :
Merci, Gervais.
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Là-dessus, il a saisi les accoudoirs du canapé pour y prendre appui et se relever. Gervais s’est háté de le soutenir. Et puis, ils
ont quitté la chambre
ensemble.
D’autres personnes sont aussi sorties de leur chambre.
Parmi celles-ci, il y avait des Occidentaux et des Orientaux. Néanmoins, du fait qu’ils étaient pareillement habillés, il était difficile
de distinguer les uns
des autres
Setrien avait cru qu’ils pourraient rencontrer des connaissances. Pourtant, à son étonnement, il ne connaissait guère personne à
cet étage-là.
Les gens se sont rassemblés devant les ascenseurs. Deux agents de sécurité restaient debout là. Impassibles, ils ont dit à la
foule :
– Les ascenseurs ne fonctionnent pas. Tout le monde prend l’escalier.

Ayant envie de prendre les ascenseurs, tous les participants étaient mécontents.
Certains voulaient s’opposer. Mais, les agents de sécurité ont immédiatement admonesté avant qu’ils n’ouvrent la bouche:
– Mesdames et messieurs, veuillez respecter les règles ! Les opposants seront sanctionnés. Nous allons noter leur numéro. Si
votre numéro a été noté une fois, vous devrez payer 20% du prix final comme amende pour obtenir l’objet que vous aurez gagné
aux enchères. Si vous êtes notés deux fois, vous serez privés du droit de participer à cette vente.
À ces mots, on s’est tus.
Malgré le statut social élevé et le pouvoir extraordinaire dont disposaient ces riches-là, ils étaient traités presque comme les
prisonniers.
Autrement dit, Clément faisait exprès de les faire maltraiter.
Ici, ils étaient considérés comme les plus inférieurs de manière qu’un gardien quelconque pouvait leur donner un ordre
autoritairement.
Si on avait décidé d’interdire l’accès aux huit ascenseurs à tout le monde, c’était pour les forcer à marcher ensemble vers la
salle de banquet en empruntant le même passage.
On croyait que ça pourrait faire comprendre à ces riches comment les prisonniers sentaient pendant qu’ils prenaient l’air.
En ce moment, à l’entrée de la salle de banquet, 4 voies de contrôle de sécurité avaient été créées comme à l’aéroport.
Il y avait une porte de détection de métal et plusieurs agents de sûreté sur chaque voie de contrôle.
La voie de sécurité spéciale était équipée de médecins et de dispositifs médicaux de surveillance.

En plus, des agents de sécurité costauds en uniforme se tenaient debout à deux côtés devant les voies de sécurité, les mains
derrière le dos et ayant l’air grave.
Les riches ressentaient une sensation d’oppression.
Néanmoins, ils ne savaient pas d’où venait cette sensation. De ces appareils de contrôle de sécurité de même couleur ? De ces
agents ayant l’air imposants? Ou de l’ambiance générale qui régnait ?
Mais, sur-le-champ, Gervais a pris conscience de la source principale de cette sensation d’oppression.
En effet, une chose l’a bouleversé : les agents de sécurité présents étaient maîtres d’arts martiaux, sans exception!
Ils étaient environ 50. Parmi eux, les plus faibles étaient les Guerriers à 3 étoiles. Il y avait même plusieurs Guerriers à 5 étoiles !
En tant que Guerrier à 7 étoiles, Gervais savait que vraiment rares étaient les Guerriers à plus de 3 étoiles.
Même parmi ses milliers de camarades de son école, moins de dix étaient Guerriers à 3 étoiles.
Seuls son maître, Périer, qui était disparu, et lui étaient Guerriers à plus de 3 étoiles.
Mais, ici, ces agents de sécurité ordinaires étaient beaucoup plus forts que son école dans l’ensemble, ce qui étonnait
énormément Gervais.
Percevant la maladresse et la stupéfaction de Gervais, Sétrien a demandé à voix basse :
– Gervais, qu’est-ce qui se passe ?

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