Big Novel

Chapitre 3875
Pour Cormier, cette promesse était encore très tentante, après tout, les Breguet étaient vraiment forts.
Les Breguet etait au moins beaucoup plus fort que les Poincaré, et avec l’aide des Breguet, la force des Poincaré
augmenterait d’un cran.
Mais Cormier ne se rendait pas compte que Gisèle n’était pas du tout intéressée.
Gisèle lui a dit :
+10 Bonus
– M. Cormier, pour vous, l’argent et le statut sont peut–être très importants, mais ce que je veux vous dire, c’est que
l’argent et le statut ne sont rien pour moi !
Et Gisèle a ajouté:
-Le propriétaire de la Pilule de Renouveau m’a dit il y a longtemps qu’il ne changerait jamais les règles pour personne,
pas même pour le chef des Rothschild. Qu’est–ce qui vous fait croire que votre statut le fera changer d’avis ? Je vous
conseille donc de renoncer à ces fantasmes irréalistes et de rentrer chez vous.
Cormier avait voulu utiliser sa véritable identité pour que le propriétaire de la Pilule de Renouveau lui donne une
chance.
Ce à quoi il ne s’attendait pas, c’était qu’il lui dise qu’il ne se soucie même pas du chef des Rothschild.

Cormier se sentait effondré.
Les paroles de Gisèle lui ont fait comprendre que la visite d’aujourd’hui a été vaine.
En pensant à cela, Cormier ne pouvait que dire maladroitement :
– Eh bien... dans ce cas, je ne vous dérangerai plus.
Gisèle a acquiesce et a dit :
-Bon ben, au revoir.
Cormier penséait qu’il y aurait une opportunité dans le futur, il pourrait être capable d’utiliser des ressources encore plus rares
pour établir une bonne relation avec Gisèle, alors il a demandé poliment,
– Mlle Gisèle, pourquoi ne pas laisser des coordonnées l’un pour l’autre, et dans le futur, s’il y a quelque chose pour lequel vous
avez besoin de l’aide des Breguet, vous pouvez toujours me le faire savoir.
Les Breguet sont très forts, mais nous n’avons pas trop d’ambition, nous voulons juste bien gérer notre propre industrie dans la
Cité J.
Cormier était complètement épuisé.
Même s’il avait de l’argent et des ressources, et alors? Gisèle n’en avait pas, mais elle ne regardait même pas ce qu’il avait
entre les mains.
S’il continuait à parler avec Gisèle, il ne pourrait probablement pas obtenir ce qu’il voulait, mais au contraire aggraverait l’attitude
de Gisèle à son égard.

Il s’est levé donc, ébouriffé, et a dit poliment :

Mlle Gisèle, je vais d’abord prendre congé.
Gisèle a acquiescé et a dit :
– J’ai des choses à faire, je ne vous accompagnerai pas.
Cormier avait reçu suffisamment de coups, il ne pouvait plus que hocher la tête et se retourner pour sortir seul.
Dès que Cormier est parti, Gisèle a respiré profondément.
Elle s’est précipitée ensuite dans la chambre et a vu Clément assis sur l’unique canapé, les jambes étendues, et a
demandé précipitamment :
– Maître Clément, serais–je allée trop loin tout à l’heure avec ton oncle...
Clément a ri,
-Non, je ne veux pas lui laisser d’espoir.
Gisèle a acquiescé,
– C’est bien ce que je pensais, et j’ai peur que si je sois trop polie, on ait l’impression que je puisse changer d’idée
facilement. Après tout, je représente la vente aux enchères, et il a contesté à plusieurs reprises les règles que tu as
mises en place, alors si j’étais trop polie avec lui, il pourrait penser que nous sommes effrayés de son identité...
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