Big Novel

Chapitre 3981
Le téléphone portable de Stanisco, parce qu’il est tombé sur le tapis de laine de luxe tissé à la main, n’a pas été cassé.
L’assistant de Stanisco a jeté inconsciemment un coup d’œil vers le téléphone portable et était instantanément ébranlé par la
photo.
La personne sur la photo était trop misérable!
+10 Bonus >
Cet assistant avait travaillé aux côtés de Stanisco pendant de nombreuses années et avait vu beaucoup de choses vicieuses et
cruelles, mais il n’avait jamais vu quelqu’un oser graver des mots avec un couteau sur le front d’un jeune maître d’une famille de
cent milliards de dollars.
Jacdin était réoulièrement très arrogant !
Parce qu’il était jeune, à peine âgé d’une vingtaine d’années, il était très favorisé par les autres.
Même Stanisco le chouchoutait.
Mais c’était lui qui mourrait aujourd’hui de façon si tragique !
C’était incroyable !
C’était comme lorsqu’on voyait un sans–abri fouiller dans les poubelles de la rue à la recherche de nourriture, ce n’était
généralement pas très choquant.
Mais si ce sans–abri était en effet un jeune maître riche, très célèbre et dont le patrimoine familial dépassait les 100 milliards de
dollars?

Cette affaire ferait immédiatement la une des journaux du monde entier.
A ce moment–là, Stanisco, déjà sur le point de s’effondrer, s’est écrié :
Ce n’est pas vrai... Ce n’est pas vrai ! Jacdin n’aurait pas pu mourir de façon aussi tragique ! Ce n’est pas lui ! Ce n’est
certainement pas lui!
L’assistant le voyant presque s’effondrer, s’empressait de dire:
– M. Stanisco... vous devez faire attention à votre propre santé, vous devez venger M. Jacdin...
Stanisco a entendu cela et s’est figé sur place.
Il lui fallait une bonne demi–minute pour reprendre ses esprits.
Il a décroché précipitamment son téléphone portable et fixa son frère tragiquement mort sur l’écran, en disant:
– Cette personne qui ose tuer mon Stanisco, quand je la découvrirai, je lui ferai certainement goûter à toutes les pires tortures
de ce monde ! Je vengerai définitivement mon frère !
L’assistant s’empressait de dire:

— M. Stanisco, à en juger par les mots gravés sur le front de M. Jacdin, le meurtrier vient très probablement du Pays C!
Stanisco a acquiescé d’un air sombre et a serré les dents :

Non seulement le meurtrier est un homme du Pays C, mais je pense qu’il doit aussi connaître un certain nombre de nos
secrets...
En parlant de cela, Stanisco a dit,

– Bien ! Jacdin est allé chez les Italiens hier pour obtenir les marchandises, demandez à ces Italiens pour moi, ce qui s’est
exactement passé la nuit dernière !
L’assistant a dit :

– Je vous contacterai !
En disant cela, l’assistant a pris son téléphone portable et est sorti de la pièce.
Stanisco s’est calmé un peu et s’est dit :
<< Jacdin, ne t’inquiète pas, je vais trouver qui t’a tué, je te jure que je vais te venger !>>
L’assistant est revenu bientôt avec un air paniqué sur le visage.
Il s’est approché de Stanisco et a dit nerveusement :

– M. Stanisco... situation... la situation est un peu mauvaise...
Stanisco a demandé:
– Dépêche–toi de le dire !
L’assistant a dit :

– J’ai entendu dire que la Bande italienne à Vancouver, les huit cents personnes ont disparu la nuit dernière, et personne ne sait
où elles sont allées, et beaucoup d’entre elles ont été anesthésiées et emmenées de chez elles au milieu de la nuit, de la même
manière qu’on enlève les jeunes femmes...
– Quoi ?!
Stanisco, qui venait de jurer de venger la mort de son frère, a entendu cela et s’est glacé !
Plus de huit cents personnes ont disparu du jour au lendemain ?
Si cette affaire était également l’œuvre de cette main noire derrière le meurtre de son frère, alors la force de cette personne
derrière la scène serait si incroyable!

Advertisement