Chapitre 4009
Le ton d’Alain était très détendu, mais le fait qu’il veuille coopérer avec la Chambre de commerce du Pays C à New York a
surpris Markiano,
Après tout, les Brunelle n’avaient jamais rejoint aucune Chambre de commerce du Pays C auparavant.
+10 Borus
Pour de nombreuses associations de cette sorte, les actifs des Brunelle pourraient être plus élevés que les actifs combinés de
tous les membres de ces associations, donc il était évident que l’adhésion à une telle association ne soit pas bénéfique pour les
Brunelle, et pour cette raison, les Brunelle n’avaient jamais adhéré à des chambres de commerce du Pays C.
Il y avait un fossé insurmontable entre les Brunelle et eux.
Mais cette fois–ci, la situation était tout à fait différente, c’était Alain qui proposait de rejoindre la Chambre de commerce du Pays
C à New York, et bien sûr, Markiano était hyper ravi.
Markiano a demandé respectueusement,
–
Je ne sais pas ce dont vous avez besoin? Ne vous inquiétez pas, tant que vous en aurez besoin, toute la Chambre de
commerce du Pays C à New York travaillera ensemble pour vous aider !
Alain a ri:
–
Je pense travailler avec vous pour organiser un projet de charité.
Un projet de charité ?
Markiano s’est étonné:
– Monsieur, qu’est–ce que vous... voulez que nous fassions?
Alain a dit sérieusement :
–
-Je veux créer un Fonds d’aide aux orphelins venant du Pays C en Amérique du Nord, et je fournirai une somme d’argent pour
soutenir spécifiquement les orphelins, dans le but de leur apporter un meilleur secours, et d’améliorer leur vie et leur éducation.
– Aïe !
Markiano a dit :
– Voilà, c’est une excellente idée ! Les orphelins du Pays C qui restent en Amérique du Nord ne sont pas très nombreux, mais
leur vie est bien pire que celle des orphelins dans le Pays C. Si vous pouviez créer un fonds de charité spécialement pour eux,
ce serait une bonne chose pour eux!
Sur ce, Markiano a demandé :
–
Monsieur, que devons–nous faire ?
Alain a dit sérieusement:
Mon idée est d’organiser un dîner de charité et d’inviter des entrepreneurs venant du Pays C à New York, et nous contribuerons
tous ensemble à la création d’un fonds de charité. L’objectif principal de notre fonds de charité est d’aider les orphelins du Pays
C. Le gouvernement américain ne se soucie pas des orphelins de son pays, sans parler des orphelins de notre pays, alors nous
devons les aider nous–même ! Alors j’aimerais vous demander si vous voulez coopérer avec moi.
En disant cela, Alain a ajouté:
– Bien sûr, pour établir ce fonds de charité, la plupart de l’argent viendra de moi, et je suis prêt à prendre vingt millions de dollars
américains comme capital de départ. Je ne sais pas si les membres de la Chambre de commerce du Pays C voudraient aussi
donner de l’argent.
Markiano a dit :
–
– Ne vous inquiétez pas, notre Chambre de commerce est naturellement disposée à participer à des œuvres caritatives, je
mobiliserai les membres plus tard pour que tout le monde puisse donner le plus possible!
Alain a dit :
– Tout le monde n’a pas besoin de donner trop. À partir du jour où ce fonds de charité sera établi, je donnerai personnellement la
moitié de tous les fonds, sois 20 millions de dollar, et l’autre moitié sera donnée par d’autres, c’est–à–dire que ce fonds de
charité pourra être officiellement lancé une fois qu’il y aura assez de fonds.
Markiano a acquiescé,
Pas de problème, la Chambre de commerce du Pays C à New York compte plus de deux cents membres, rassembler vingt
millions est encore facile ! Markiano a demandé à nouveau:
—
Monsieur, quand prévoyez–vous d’organiser ce dîner de charité?
Alain a dit :
Mon plan actuel est de l’organiser le 11 au soir, et le lieu du dîner de charité sera choisi dans la salle de banquet de l’Hôtel
Rédeau à New York, mais je vais te laisser faire les préparatifs préliminaires. Ce dîner de charité sera considéré comme le
premier événement d’envergure que nous aurons co–organisé.