Chapitre 4065
Chapitre 4065
A ce momenta, Anderson regardait Maret et a dit d'un ton frold:
Maret, bien que ton fils ait disparu en ce moment, & mon avis, ce qui s'est passé
aujourd'hui pourrait tre li¢ a ton fils !
Anderson regardait autour de lui et a dit froidement :
10 Bonus
— T'es intelligent, tu n'as pas besoin que je te I'explique & nouveau, n'est-ce pas
? Al'origine, il s'agissait d'un simple diner de charité, mais ton fils a fait tellement
de choses. Donc je pense qu'il avait peut—&tre d'autres intentions.
Maret était incapable de réfuter les paroles d’Anderson.
Maret était intelligent, et il pensait aussi qu'il n'était pas normal que son fils fasse
tant d’actions étranges pour organiser un diner de charité.
De plus, Maret connaissait trés bien son fils, Alain ne s'intéressait jamais a des
activités caritatives; les Brunelle organisaient habituellement des activités
caritatives, il avait demandé a Alain d'y participer et celui-ci navait pas voulu,
cette fois—ci il avait méme sorti des dizaines de millions de dollars pour faire des
dons, et il avait également pris l'initiative d’organiser un diner caritatif et une
fondation caritative, cette affaire en elle-méme était trés étrange.
Maret avait lui aussi l'impression que son fils organisait ce diner de charité pour
une autre raison.
Cependant, Maret ne voulait pas exprimer ses soupcons et il a dit 8 Anderson
d'un ton ferme :
— N'oublie pas que la personne qui a disparu en ce moment, c'est mon fils I C'est
lui qui a été kidnappé ! Ne devriez—vous pas vous précipiter pour retrouver mon
fils et le ramener sain et sauf ?!
Anderson ari,
Nous ne permettons & personne d’interférer dans notre travail.
Apres avoir dit cela, Anderson s'est retourné et & demandé aux hommes qui
I'entouraient :
— Avez-vous réuni tout le personnel ?
L'un d’eux a hoché la téte et a dit :
Je les ai déja répartis dans des salles séparées pour les faire interroger, aprés
quoi je les réunirai tous dans la salle de conférence.
— Bien!
Anderson a dit :
— Conduis-moi a la salle de conférence!
Sur ce, Anderson a regardé a nouveau Clément et a dit :
— Vous pouvez laisser vos coordonnées & mon assistant avant de retourner &
I'hétel, et nous vous contacterons si nous avons besoin de votre coopération par
la suite.
— Bien.
Clément a acquiescé et a dit & Dovique :
— Dovique, laisse tes coordonnées a l'officier.
Dovique a sorti précipitamment une carte de visite et I'a tendue a l'officier a coté
d'Anderson.
Anderson regardait & nouveau Maret et a dit :
— Maret, tu peux partir aussi, et je demanderai & quelqu'un de te prévenir s'il y a
du nouveau.
Maret se fache :
— C'est I'ndtel de nos Brunelle, et tu me dis de partir?
Anderson s'est impatienté:
— Tu peux partir, c'est maintenant la scéne du crime, a partir de maintenant cet
endroit doit &tre fermé et géré par la police, les personnes non liées doivent
quitter !
En disant cela, Anderson a également donné des instructions a I'officier a coté
de lui:
Rassemble les invités a I'extérieur, vérifie I'identité de chacun, ceux qui ne sont
pas suspectés, laisse-les d'abord rentrer chez eux, mais tu les inform a I'avance
qu'ils ne sont pas autorisés a quitter New York pendant la semaine a venir, nous
les contacterons a tout moment.
Lofficier a immédiatement hoché la téte et a dit :
— D'accord, je m’en occupe!
Le visage de Maret s'est assombri de colére.
Plusieurs officiers portant des talkies—walkies a I'épaule et des pistolets a la
ceinture se sont avancé immédiatement et ont dit :
— Vous avez tous entendu ce que M. Anderson a dit, veuillez quitter les lieux
immédiatement.
Maret était tellement furieux qu'il a donné un coup de pied dans le mur et a juré
avec colére :
— Anderson, ne va pas trop loin!
Un autre policier s'est immédiatement avancé et a averti d'une voix ferme :
WWW.
Monsieur, si vous ne vous retirez pas et que vous continuiez a rester ici, je vais
devoir prendre des mesures coercitives a votre encontre !
Maret a serré les dents et a dit :
— Je verrai bien qui osera me toucher !