Chapitre 4083
Les femmes ne s'attendaient pas a ce qu'un homme d'age moyen sorte d'une
Cadillac et se dirige directement vers elles.
Elles se sont donc toutes précipitées pour attirer son attention, espérant se faire
remarquer,
+10 Bonus P
Maret observait la scéne avec dégodt, mais il navait d'autre choix que de
s'approcher de la femme blonde et de lui glisser mille dollars dans le col de sa
robe.
Les exclamations ont fuse immédiatement autour de lui, stupéfiant les autres
femmes.
Elles ne gagnaient souvent pas cent dollars en une journée ici, et homme riche
venait de donner mille dollars & I'une d’entre elles, suscitant une jalousie
intense.
La femme blonde, elle aussi excitée a ce momenta, a retiré I'argent de son col,
a compté chaque billet, puis, aprés avoir confirmé la somme, s'est
exclamée avec enthousiasme :
Mon Dieu, vous devez étre M. Maret, n’est—ce pas ?
Maret a failli trébucher a cause de 'odeur nauséabonde émanant de sa bouche.
Se retenant de vomir, il a demandé:
— Je t'ai donné l'argent, oli est l'objet ? Est-ce que quelqu’un t'a chargé de me
remettre quelque chose en retour?
La femme blonde a répondu avec joie :
— Je pensais que ce type se moquait de moi. Je n'imaginais pas qu'il y aurait
vraiment une telle bonne affaire...
Aprés ces mots, elle a fixé Maret, a soudainement fait un pas en avant, I'a serré
fermement et I'a embrassé avec force.
Un grand groupe de gardes du corps craignait que la femme n'attaque
soudainement Maret. lls ont sorti précipitamment leurs armes et se sont
précipités hors de la voiture.
A ce momenta, Maret a également eu un choc, repoussant rapidement la
femme tout en essuyant hativement la bouche, et en exprimant sa colére: — Bon
sang! Merde ! Tu es malade ou quoi ? Qui t'a autorisée a m'embrasser ?
Il a alors remarqué que les deux bras de la femme étaient couverts de marques
daiguille, ce qui I'a fait encore palir.
Crachant avec force tout en tapant frénétiquement sur ses vétements, il a
maudit:
—Tu as le sida ? Si c'est le cas, je te fais abattre sur place!
La femme, terrifi€e par la vue des gardes du corps pointant leurs armes vers elle,
elle a répondu avec peur et tristesse:
— Le médecin de la fondation m'a dit... Le sida ne se transmet pas par les
baisers...
Cette réponse a fait exploser Maret de colére. Se levant brusquement, il a
maudit:
— Merde ! Tu en as vraiment, hein?
Ses gardes du corps, entendant cela, ont immédiatement pensé qu'ils étaient
confrontés a un grand danger. L'un d’eux a supposé que la femme l'avait fait
intentionnellement et I'a réprimandée sur—le-champ:
— Parle ! Pourquoi as-tu fait ca ? Quel est ton objectif ?
La femme, visiblement perturbée, a répondu avec insistance :
— Un homme m'a dit que M. Maret me donnerait mille dollars. Si je recevais cet
argent, je devrais lui offrir un baiser chaleureux et un petit cadeau préparé avec
soin...
— Zut alors!
Maret a immédiatement réalisé qu'il avait été piégé par ce salaud.
A ce moment, il avait plus aucun intérét pour autre chose que pour
récupérer l'indice et rentrer au plus vite afin que le médecin puisse lui administrer
des médicaments antirétroviraux.
Il a donc fixé la femme, demandant d'un ton sombre:
— Quel est ce «< petit cadeau » ? Donné-le—moi rapidement !
La femme, terrifi€e par la menace de tant d’hommes armés, a rapidement sorti
une boite de préservatifs de son vieux sac a bandouliere.
Maret a immédiatement reconnu l'image des préservatifs sur 'emballage. Son
visage s'est assombri. Il a pensé que c'était simplement une plaisanterie D’'un
ton froid, il a alors maudit :
— C'est ¢a que ce salaud t'a demandé de me donner?