HOMME INACCESSIBLE

Chapitre 4095

Au NYPD, Anderson était anxieux aprés avoir i les informations diffusées par les
médias. Tout le monde était au courant qu'Alain avait été kidnappé a New York et
qu'on lui avait coupé les deux oreilles, mais les kidnappeurs n'ont pas été arrété
et Alain n'a pas non plus été retrouvé, ce qui faisait redoubler la pression au sein
de la police de New York.

Anderson, en tant que policier bien connu, ne pouvait pas tenir en place a cause
de l'anxiété.

Malheureusement, aucun indice précieux n'avait été laissé sur les lieux. Jusqu'a
présent, on n'a pas trouvé oll le camion a ordures avait circulé. Le camion étant
introuvable, il était plus difficile encore de retrouver la personne.

Alors qu'il était perdu, il a recu un appel. Il a vu le nom sur I'écran du portable, a
hésité un instant, mais a décroché le téléphone et a dit :

— Ouoi, tu as vu les nouvelles, alors tu ne peux pas tempécher de te moquer de
moi ?

Au téléphone, un homme ari et a dit :

Si tu étais tombé accidentellement sur la téte, j'aurais été le premier a te troller,
mais maintenant comment pourrais—je te jeter la pierre ?

La personne qui parlait était Cormier, qui avait été chassé par Clément lors de la
vente aux enchéres de Pilule de Renouveau.

A ce moment-la, Cormier a ajouté :

— Tu devrais toujours étre au commissariat maintenant, non?

Anderson a rigolé:

Apres un tel incident, je crains de devoir passer les prochains jours au bureau.
Cormier a souri légérement et a dit :

— Ah, mais j'ai deviné alors ! Je suis en bas maintenant, je monte.

Anderson était surpris et voulait demander quelque chose, mais il s'est retenu et
adit:

— Je vais demander a quelqu’un de te recueillir !

Bientdt, Cormier, portant une casquette et un masque est arrivé sous la conduite
d'un officier de police. Il s'est dirigé directement.vers le bureau d’Anderson avec
deux sacs en papier kraft dans ses mains.

Dés qu'Anderson I'a vu, il a été surpris :

— Pourquoi viens-tu & New York? J'ai entendu dire que tu es retourné au Pays C,
n'est—ce pas ?

Cormier a hoché la téte et dit en soupirant:

— Oui, mais ¢a ne s'est pas bien passé, alors je retourne.

Curieux, Anderson a demandé :

Qu'est—ce qui ne va pas ?

Cormier a répondu, impuissant,

— C'est toute une histoire.

Sur ce, il a posé deux sacs en papier kraft sur la table et a demandé :

— Tu ne travailles plus maintenant, n’est—ce pas ? J'ai apporté de quoi manger et
une bouteille du vin, on prend un verre ? Anderson a ri:

— Je ne travalille pas, il n'y a pas de probleme ! La seule raison pour laquelle je
suis encore au bureau, c'est parce que je crains que les médias ne me
dérangent.

En disant cela, il a sorti précipitamment la bouteille de vin du sac et s'est
exclamé :

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— Putain, ce vin a été stocké pendant

au moins quelques dizaines

d’années, n“est—ce pas ? The content

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Cormier a acquiescé:

— C'est vrai. Tu as de la chance!

Anderson s'est exclamé :

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Si mon grand—pere était encore en

vie, il serait tres heureux de voir ce

vin! The content is on

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Le grand—peére d’Anderson était un
homme d'affaires tres célebre et trés
riche dans le Pays C. Puis, pendant la
guerre, toute la famille s'était réfugiée

aux Etats—Unis en passant par de
nombreux obstacles, et s'y était

installée. Anderson et Cormier

avaient le méme age, ils étaient nés

et avaient grandi aux Etats-Unis,

mais sous l'influence de sa famille, ils
avaient des habitudes typiques du

Pays C. Le grand—pere d’Anderson et

son pere étaient tous deux amoureux

de ce type de vin, et lui aussi. The

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