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Chapitre 4169
En voyant partir Anderson, Adolphe a poussé un soupir de soulagement.
+10 Bonus
I ne craignait pas qu’Anderson découvre son statut de clandestin, mais sa seule
crainte, c'était qu'Anderson se rappelle qu'il I'avait rencontré et le reliait a la
disparition d'Alain.
Apres tout, une fois que Anderson’se souvenait de lui, il risquerait de soupgconner
Cléinent qui venait souvent dans ce restaurant avec Clothilde. Anderson n'arrivait
toujours pas a résoudre I'affaire d'Alain, c'était simplement parce que les indices
en étaient bien cachés, mais une fois qu'il aurait cherché le moindre indice, il
pourrait en profiter pour tirer au clair toute I'affaire.
A
ce moment, Clément et Clothilde sont descendus, et Adolphe s'est haté de dire :
-M. Clément, comment étes—vous descendus? Anderson vient juste de sortir, et il
n'a pas da aller bien loin.
-Adolphe, nous avons quelque chose d'urgent et nous devons partir, nous
reviendrons prochainement ! a dit Clément tout agité.
Entendant cela, Adolphe ne tentait pas de retenir Clément et Clothilde. Il s'est
précipité vers la porte pour jeter un coup d'oeil et voyant qu’Anderson est déja
parti en voiture, il a dit :
— La voiture d’Anderson s'est déja éloignée, et vous pouvez partir. Si vous avez
besoin de moi, n'hésitez pas & m'appeler !
— D'accord! Au revoir !
Puis, Clément et Clothilde sont montés dans la voiture et se sont dirigés vers
I'aéroport.
En méme temps, dans un avion d'affaires de Gulfstream qui s’envolait a 10000
métres d'altitude sur le continent européen, Gervais et Lora étaient en train de
dormir, mais Sétrien et Rosélyne regardaient par la fenétre, de plus en plus
nerveux.
Depuis qu'ils ont décollé de Colombo, capitale du Sri Lanka, ils ne savaient plus
ot ils allaient et personne ne leur a dit quelle était exactement la destination de
l'avion.
En regardant les nuages épais qui leur obstruaient le vue, ils étaient en proie aux
horribles inquiétudes.
Apres avoir longtemps regardé par la fenétre, Sétrien ne pouvait s'empécher de
demander a Rosélyne a voix basse :
Rosélyne, d’apres toi, oti M. Clément nous a fait envoyer? L'avion a volé depuis
des heures et si la destination est la Syrie, nous aurions di arriver,
non?
Rosélyne a hoché la téte et a dit :
— Il faut environ six heures pour se rendre de Sri Lanka en Syrie, mais nous
avons déja volé depuis sept heures, il semble que notre destination ne soit pas la
Syrie.
Sétrien a dit en froncant les sourcils :
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En volant a cette vitesse, quelle que
soit la direction, nous aang dejprdd
. ) : 5
quitter Rete que M.
Clérhen ne compte pas nous
envoyer en Syrie ? The content is on
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— C'est sir que nous avons déja quitter I'Asie, mais je ne sais également pas oul
onva...
Cela dit, Rosélyne regardait Sétrien et a dit sérieusement:
Grand-—pére, ne tinquiéte pas, sirement M. Clément va bien nous installer.
Sétrien a hoché la téte, et a dit d'un ton mélancolique :
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Je fais confiance a M. Clément, mais
. ) A Ia . .
je ne peux m'empécher d'étre inquiet.
Fra nchement, jen bins (aq ue
y " o

ET m'arrive, et je ne

B , ?
crains qu une seule chose que tu sois
mise en danger a cause de moi. The
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, . N .
— Ne t'en fais pas, grand—pere, a dit
Rosélyne fermement, puisque M.
Clément a décidé fenoys gider! ihe
npug mitted absolument pas en
danger! Quelle que soit la destination
; —

de cet avion, je n'ai pas peur sous
i p: 3:
I'aile de M. Clément ! The content is
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