Chapitre 681
– Ça suffit! Mme Xavier a pointé du doigt Lorraine et a grondé, toute rouge de colère :
-Espèce de mégère ! Bien que notre famille Xavier se trouve maintenant dans l’adversité, nous pourrons quand même nous
redresser tôt ou tard. A ce moment-là, je n’autoriserai jamais toute votre famille à revenir même si vous m’en priez en pleurant !
À ce moment-là, Kyan a dit à la hâte à Lorraine : – Comment peux-tu parler à maman comme ça ? Dépêche-toi de t’excuser
auprès d’elle ! Lorraine a froncé les sourcils et a dit froidement :
– Kyan, pourquoi prends-tu quand même parti pour cette vieille bique ? As-tu oublié comment elle t’a chassé de la famille Xavier
à l’époque ? Bien que tu la traites comme ta mère, elle ne te regarde pas du tout comme son fils !
Cela dit, Lorraine a de nouveau tourné la tête vers Mme Xavier et a dit froidement:
-Vieille dame, je te conseille d’avoir une clair conscience de ta situation actuelle, ta famille Xavier est déjà presque en faillite, te
crois-tu quand même supérieure à tout ?! Écoute bien, je ne retournerai absolument pas à ta famille Xavier même si tu m’en
supplies à genoux ! Tu en es déjà réduite à vendre des meubles pour survivre, mais qu’est-ce qui te porte à croire avec
confiance que je veux rentrer à ta putain de famille Xavier !
Mme Xavier, folle de colère, a pointé du doigt Lorraine et a dit d’une voix hystérique :
– Lorraine, tu es la première personne qui ose me parler comme ça depuis ma naissance, souviens-toi bien de ce que tu m’as
dit aujourd’hui, je te préviens, tu ne l’emporteras pas en paradis ! Tôt ou tard, je te casserai les jambes et te ferai me demander
pardon en t’agenouillant !
Lorraine a ricané et a dit avec dédain :
– Tu veux me casser les jambes ? Comme c’est drôle ! Tu as déjà eu un pied dans la tombe, as-tu encore la force de me blesser
? Eh bien, dépêche-loi de venir me casser les jambes maintenant, je t’en donne l’occasioni
Cela dit, Lorraine a vraiment étiré sa jambe et a regardé Mme Xavier avec un sourire moqueur. Mme Xavier était si irritée par ce
mouvement de Lorraine, qu’elle voulait vraiment casser tout de suite la jambe de Lorraine pour lui donner une leçon, mais elle
ne l’osait pas du tout devant Clément, car elle se souvenait encore de la scène effrayante où Clément avait terrassé un groupe
de gardes du corps tout seul. .
Quand Hugo, qui était autrefois très arrogant, a vu que sa grand-mère s’est fait ridiculiser par Lorraine, il se cachait toujours
derrière le groupe et restait silencieux par crainte de Clément.
À ce moment-là, Brice est revenu avec le patron, l’air sombre. il a dit à Mme Xavier : – Maman, allons-y, leur offre est trop basse
! Le patron a dit précipitamment :
-Hé monsieur, le bois de tes meubles n’est pas très bon, et c’est aussi très vieux et usé, donc 0,11 million d’euros, c’est vraiment
une super offre ! Si tu vas aux autres magasins, sûrement leurs offres ne seront pas plus élevées que la mienne !
Mme Xavier était encore pleine de colère, donc quand elle a appris que le prix d’achat que le patron proposait n’était que de 0,11
million d’euros, elle a immédiatement grondé rageusement :
– Patron, nos meubles sont si bons, comment peux-tu faire une offre si basse ? C’est un peu trop hein! Le patron a dit,
impuissant :
– Mon offre est vraiment raisonnable, si vous ne me croyez pas, allez simplement vous renseigner. Mme Xavier a pincé les
lèvres et a dit à sa famille :
– Allons-y! Il y aura certainement de meilleures offres ! A ce moment-là, Kyan a dit à la hâte: – Maman, je veux acheter les
meubles de papa au prix de 0,12 million d’euros, qu’en penses-tu ? J’y suis assez attaché. – Pas question! a dit Mme Xavier en
serrant les dents, même si je les brûle en tant que bois de chauffage, je ne te les vendrai pas ! Cela dit, elle a fait signe à Brice
et a dit : — Allons-y ! Brice a lancé un regard féroce à Kyan et est parti avec Mme Xavier et ses deux enfants. En les regardant
s’éloigner, Kyan ne pouvait s’empêcher de secouer la tête et a dit :
– Je ne m’attendais pas à ce que la famille Xavier en soit réduite à vendre des meubles pour survivre, hélas, cet ensemble de
meubles était le préféré de mon père de son vivant, quel dommage de le vendre!
Chloé savait que son père avait beaucoup d’affection pour cet ensemble de meubles, alors elle s’est avancée et l’a consolė:
– Papa, ne sois pas triste, tu connais bien le tempérament de grand-mère, elle ne te vendra jamais cet ensemble de meubles,
eh bien, allons regarder d’autres canapés...
– D’accord..
Kyan a soupiré et a dit au vendeur :
– Désolé, les canapés en poirier jaune de la Cité S de votre magasin sont trop chers, et ceux de Birmanie, ça prend trop de
temps, on va s’en aller alots.