Chapitre 697
La dessus, Mme Xavier a été gagnée par le panique ! La canne qu’elle avait tenue à la main jetée par terre, elle a failli de perdre
l’équilibre. Ayant cru avoir encore du temps de chercher du soutien pour se sauver, elle a été étonnée que tout soit arrive
tellement vite. Ces mots ont également fait pålir Brice et ses deux enfants. – Maman, pourquoi ça ? On va saisir notre villa ? Tu
viens de verser plus de cent mille, n’est-ce pas ?
Les Xavier n’avaient pas d’argent. Si cette villa était saisie, ils ne pourraient pas trouver un autre refuge. Par ailleurs, aucun
d’entre eux n’était doté d’aptitude, ce qui rendrait la vie future plus difficile.
Donc, pour gagner la vie, non seulement Brice et ses enfants devraient aller chercher du travail, mais Mme Xavier devrait étre
contrainte de faire la vaisselle pour un restaurant.
Autrement, il serait impossible pour eux de survivre. Mme Xavier s’est assise par terre tout à coup. Furieuse, elle a proteste: –
Ça revient à nous tuer ! Vous venez nous ravir cette villa, à peine que j’ai donné tout mon argent ! Mais le responsable restait
toujours impassible en disant :
– Mais, nous agissons en vertu de la loi. A présent que vous êtes endettée, vos créanciers ont le droit de demander au tribunal
de saisir tous vos biens ! Je vous rappelle que si vous pouvez vous acquittez de toute votre dette à temps, cette villa vous sera
rendue, et vos comptes bancaires seront dégelés. Mais si vous ne pouvez pas rembourser la dette dans trois mois, vos
créanciers devront déposer une plainte contre vous, en vous accusant d’escroquerie !
Mme Xavier a étreint la jambe de son interlocuteur pour supplier :
– Vous ne pouvez pas saisir ma villa. J’habite ici pendant environ vingt ans. C’est chez moi! Mais, on a ordonné à quelques
employés avec indifférence : – Faites-la sortir ! Calmez-la !
Sur ce, ces agents ont emmené la vieille à l’extérieur en la tenant par les bras, Elle s’est écrié en sanglots :
– Lâchez-moi! Lachez-moi ! Arrêtez! Mais personne ne se souciait de ses cris. Et puis, Brice et ses enfants ont été entraînés au
dehors. Brice sombrait dans le désespoir maintenant. La situation actuelle lul paraissait très claire. Le tribunal accomplissait
l’exécution forcée. Il était illégal de lui faire obstacle. « Il est légitime et légal que l’on demande l’exécution forcée au tribunal.
Puisque nous devons de l’argent. >> Hugo a éclaté en sanglots :
– Papa, qu’est-ce que nous devons faire maintenant ? Où habiterons-nous si la villa est saisie ? Vivian, elle, a dit en pleurant : –
La vie est déjà très difficile pour nous ? Je préférais mourir plutôt que de voir ça ! À ces mots, Mme Xavier a pesté en se grattant
la tête : – Quelle maudite banque ! C’est excessif ! On veut nous tuer! À ce moment-là, Brice lui a dit :
– Maman, où tu as caché les antiquités ? ! S’ils les trouvent, tout sera fichu! Mme Xavier a été prise de vertige et a failli de
tomber par terre. Brice s’est précipité d’aller la soutenir. Après s’être reprise, Mme Xavier a répondu avec énervement : –Les
antiquités ont été cachées dans une cachette de notre sous-sol. Ils ne devraient pas les trouver...
Previous Chapter
Next Chapter