Big Novel

Chapitre 967
Mireille était si effrayée qu‘elle a déployé dans le sol. Elle avait peur de recevoir le coup. Le crochet était effarant. Avec le
crochet, Capucine pouvait même arracher ses yeux ! pire encore elle était blessée. Méme si elle pouvait esquiver les premiers
coups, il était impossible pour elle de s‘en tirer. Tôt ou tard, elle serait tuée par Capucine ! Elle voulait s‘enfuir. Mais la douleur à
la jambe la faisait s‘effondrer par terre.
A cet instant, Capucine s‘est précipitée vers Mireille et elle était préte à l‘assommer avec le crochet. Mireille n‘a pas pu esquiver
le coup. Par désespoir, elle a fermé ses yeux. Elle pensait qu‘elle serait morte.
En ce moment, plusieurs Toyota ont surgi
Les phares ont illuminé directement le visage de Capucine. Plusieurs personnes ont sauté des voitures dont l‘une a braqué son
arme sur Capucine:
– Qu‘est–ce que tu fais ? Laisse là le crochet
Capucine a tremble de peur !
Son travail lui a donné de riches expériences. Elle pouvait connaitre les gens d‘un seul coup d‘oeil.
Bien que les gardes de sécurité et les surveillants soient abominables, ils n‘avaient pas d‘armes. Ces gens–là avaient l‘air plus
affreux
Donc, elle a jeté le crochet sur la terre en tremblant.

A ce moment–là, un homme d‘áge mûr s‘est dirigé vers Mireille. Après avoir regardé la photo sur son portable, il a jeté un regard
sur Mireille et dit :
– Tu es bien Mireille ?
Mireille a hoché la téte
– Oui, c‘est moi. Qui êtes–vous ?
Cet homme a hoché la tête et dit d‘un ton léger : – Bonjour Mireille. Je suis Phibi, membre de la famille des Pelletier. Je viens ici
pour t‘emmener à la Cité S. Mireille était confuse. Elle a demandé prudemment :
– Bonjour, M. Phibi... je... je ne connais personne de la famille des Pelletier...
Phibi a répondu sans laisser filtrer la moindre émotion :
– Mon maitre sait que tu es tombée dans le piège de Clément. Donc il me demande de venir te sauver. Viens avec nous à la
Cité S. Après avoir rencontré mon maitre, tu peux rejoindre ta famille.
Mireille a demandé avec joie :
– C‘est vrai ? Tu veux me sauver et me laisser rencontrer ma famille ?
Phibi a dit avec froideur :
– Alors ? Tu penses que je viens ici pour te dire des bêtises ? A ces mots, Mireille a presque pleuré de joie. Avec un visage
trempé de larmes, elle a hoché la tête et dit:
– Merci ! Phibi était dégouté par sa saleté. Il a dit à son subordonné : – Elle va prendre ta voiture. – Oui, Phibi Un homme a
répondu. Il a ramassé son arme et emmené Mireille à la voiture. En ce moment, un homme est sorti de la chambre en grondant:
– Qu‘est–ce que vous faites là ? Vous voulez emmener ma femme ? Laissez–la–moi! Phibi a demandé en fronçant les sourcils :
– Pour qui tu te prends ?
Cet homme était bien le surveillant de la mine. Il s‘est considéré comme le possesseur de la mine, car le véritable patron y
venait rarement.

Par conséquent, il a dit avec orgueil :
Je suis le surveillant d’ici. As–tu informé mon patron? Je te dis que mon patron est très puissant.
Phibi a dit d’une voix froide :

– Ton patron ne t’a pas dit que nous avons acheté cette mine?
– Intéressant, a dit le surveillant, si mon patron avait vendu cette mine, il me l’aurait dit. D’après moi, vous venez ici pour voler
ma femme !

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