Chptre 1094
Il a parcouru du regard Clément en pensant :
Pourquoi on me compare avec ce machin! Impossible! »
N’ayant pas du tout envie de causer avec Clément, Phors s’est mis à saluer Édmond:
—
Quelle coïncidence ! M. Édmond, vous êtes aussi ici. Je voulais vous rendre visite à l’Hôtel Buckingham demain.
Édmond a répondu avec froideur:
– Bonjour, M. Phors. C’est trop gentil. Pourquoi vous êtes venu à la Cité J cette fois ?
Après avoir jeté un coup d’œil à Gisèle, Phors a expliqué en souriant:
–
– Ma sœur a fait ses études à l’étranger avec Mlle Gisèle. Elles étaient de la même classe. Cette fois, je veux demander un
partenariat avec M. Phillipe. J’avais compté d’y venir dans quelques jours.
Cependant, on m’avait appris qu’aujourd’hui, c’est l’anniversaire de Mlle Gisèle. C’est pour ça que je suis venu à Cité J par
avance.
En disant, il a sorti une boîte délicatement emballée et l’a ouverte. Il y avait un collier avec rubis très brillant. Il l’a montré à
Gisèle et lui a dit:
Mlle Gisèle, j’ai choisi moi–même ce collier pour vous. Regardez, ce rubis naturel provient d’Afrique.
Tout le monde a regardé dans la boîte. Le collier avait l’air très élégant. Et le rubis luisant était presque de même taille qu’un
œuf.
Les gens s’émerveillaient devant ce collier.
Ces connaisseurs de bijoux savaient que le rubis était hors de prix.
Ayant vu l’admiration qui se traduisait sur le visage d’autres invités, Phors a ri et a continué à présenter à
Gisèle avec fierté :
Je pense que vous devriez savoir que, parmi tous les genres de pierres précieuses, le rubis est le plus cher. Son cours sur le
marché international est de des dizaines de mille dollars par carat. Et les rubis très purs de cette sorte coûtent encore plus cher.
D’ailleurs, ce rubis pèse vingt–six carats. En plus, je l’ai fait polir et incruster au meilleur expert de Tiffany. Du coup, ce rubis vaut
lui–même plus de vingt millions d’euros. Je souhaite que ça puisse vous plaire.
À ces mots, on a lancé des regards infiniment envieux à Gisèle en se disant :
<< Un cadeau d’anniversaire de vingt millions d’euros ! C’est incroyable ! >>
Néanmoins, Gisèle ne paraissait pas du tout intéressée par ce collier. Elle a dit avec indifférence:
—
1. Phors, désolée, ce collier est très cher. Je ne pourrais pas l’accepter.
– Pourquoi ça ? a demandé Phors en souriant, c’est juste un collier. Il ne coûte rien pour ma famille. Je trouve qu’il vous va très
bien, Mlle Gisèle. C’est la raison pour laquelle je l’ai acheté pour vous. Ne me faites pas tant de manières. Acceptez–le.
Mais Gisèle a refusé avec insistance:
– M. Phors, vous êtes trop gentil. Mais je n’ai rien fait pour mériter ce cadeau onéreux. J’apprécie beaucoup votre geste. Je vous
prie de rentrer ce collier.
Phors a changé de visage sur le coup. Puis, il a répliqué:
Mlle Gisèle, pourquoi vous vous montrez tellement distante envers moi ? Vous savez, cette fois, si je
O suis venu à la Cité J, c’est non seulement pour ton anniversaire, mais également pour construire un partenariat étroit avec
votre famille. Vous me refusez dès le début. Comment nos deux familles pourront coopérer à l’avenir ?
Sur ce, Cédric a recommandé à Gisèle:
Frror
– Gisèle, à quoi tu penses? Ce cadeau est très chic ! Il ne faut pas le refuser ! Tu es impolie ! Prends–le !
Frébric a hoché la tête en pressant:
– Gisèle, tu vois, à part M. Phors, qui pourrait être tellement généreux en te donnant un cadeau si coûteux ?
Mais, Gisèle a insisté :
– M. Phors est très généreux, je le sais. Et je le remercie beaucoup. Mais M. Phors, je ne peux pas accepter un cadeau si cher.
Je vous demande pardon. C’est mon principe. Croyez–moi, M. Phors, ça n’a rien à voir ni avec vous ni avec ce collier. Je vous
prie de ne pas vous méprendre.
À ce moment–là, M. Phillipe a expliqué :
– M. Phors, votre cadeau est vraiment trop cher. Il est normal que Gisèle ne veut pas l’accepter. Veuillez lui pardonner.
Les sourcils froncés, Phors s’est un peu indigné :
– M. Phillipe, Mlle Gisèle, est–ce que vous vous jouez de moi et de ma famille ?
tre 1995
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