Big Novel

Chapitre 4033
Clément a dit avec surprise :
– M. Adolphe, il s’avère que mon père et vous étiez amis il y a longtemps...
Clothilde s’empressait de dire,
+10 Bonus >
– Clément, mon père m’a dit qu’à l’époque, Adolphe était très célèbre dans son pays et à l’étranger, et qu’à l’époque, M. Méverin
s’était rendu à la Cité G plusieurs fois pour lui rendre visite personnellement afin de lui faire travailler pour lui–même !
Adolphe a dit modestement,
— Vous exagérez, je ne suis pas non plus une célébrité, j’ai juste eu la chance d’être apprécié par M. Méverin, et j’ai accompli
quelques exploits.
Il a soupiré :
– À l’époque, j’avais prévu de trouver un endroit avec une belle vue et un emploi pour mener une vie paisiblement, mais je ne
pensais pas que je serais reconnu par M. Méverin. C’était un homme très puissant, j’ai donc décidé de le suivre et de travailler
pour lui après mûre réflexion, mais je n’ai pas réalisé qu’au moment où j’avais terminé mes affaires personnelles et que j’étais
sur le point d’aller le chercher à la Cité Y, il a soudainement quitté les Huet avec sa femme et a quitté la Cité Y, et a tout
simplement disparu, et je n’ai jamais pu reprendre contact avec lui...
En entendant cela, Clément avait l’impression qu’Adolphe parlait des événements à son âge de huit ans.
Clément a poursuivi la question:


1. Adolphe, y a–t–il du louche caché à la mort de mes parents?
Adolphe a secoué la tête et s’est excusé :

– Je suis désolée M. Clément, je n’étais pas au courant de la mort de M. Méverin à temps à l’époque, mais j’en ai entendu parler
plus tard. Lorsque je l’ai appris, M. Méverin avait déjà rompu tout contact avec moi. La dernière fois qu’il m’a contacté, c’était
juste avant de quitter les Huet.
Clément avait l’air un peu nerveux en demandant:
– Mon père vous a–t–il a dit quelque chose à ce moment–là ?
Adolphe a dit :

– Ce jour–là, M. Méverin m’a appelé, il m’a dit qu’il avait quitté les Huet, mais qu’il voulait que je continue à travailler pour les
Huet, et il m’a demandé de contacter Savin, l’intendant des Huet à l’époque, mais je n’ai pas dit oui.
En disant cela, Adolphe a expliqué avec un peu de honte :

Je ne vais pas vous le cacher, à l’époque, je ne voulais pas être impliqué dans ce genre de bagarre familiale, j’étais prêt à aller à
la Cité Y parce que je croyais en la force de M. Méverin, sinon je n’aurais pas travaillé pour les Huet...
– Alors je me disais que si je travaillais pour M. Méverin, je travaillerais très dur!

Mais si ce n’était pas pour lui, je ne voulais pas me gêner.
– J’ai donc promis à M. Méverin qu’à l’avenir, s’il décidait de revenir aux Huet, ou s’il allait créer une nouvelle entreprise, il
pourrait me contacter directement, et où que je sois à ce moment–là et quoi que je fasse, tant qu’il aurait encore besoin de moi,
tant que je serais en vie, je travaillerais certainement pour lui...

– A l’époque, M. Méverin a honoré mon choix, mais je ne m’attendais pas à ce que, peu de temps après, j’entende la nouvelle
de sa mort....
En parlant ainsi, Adolphe a soupiré un peu,

– Je ne m’attendais vraiment pas à ce que M. Méverin soit victime d’un accident, c’est juste... dommage...
Clément a soupiré, lorsque son père était mort, il n’avait qu’une trentaine d’années, il était dans la fleur de l’âge, c’était vraiment
dommage.

Sur ce, Clément a demandé :

– M. Adolphe, comment êtes–vous venu à New York par la suite ?
Adolphe a souri amèrement,
1
– Après la mort de M. Méverin, je suis allé à la Cité J pour le pleurer. Lorsque j’ai voulu retourner à la Cité G, l’homme qui voulait
me tuer plus tôt a également entendu parler de la mort inattendue de M. Méverin, alors il a immédiatement engagé des
assassins pour me tuer. Je n’ai pas osé retourner à la Cité G dans cette situation à ce moment–là, et j’ai dû passer discrètement
aux Etats–Unis, où je suis resté jusqu’à présent...
Adolphe a demandé :

~ M. Clément, où étiez–vous pendant toutes ces années ? A l’époque, M. Bitoric a parcouru beaucoup d’endroits pour vous
retrouver. Il est aussi venu plusieurs fois aux Etats–Unis pour avoir des nouvelles de vous, et je l’ai même aidé à vous chercher
ensemble aux Etats–Unis, mais il n’y a pas eu d’indices...

Advertisement