Chapitre 4034
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Clothilde a dit même :
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Clément, dans le passé, mon père et moi sommes aussi venus à New York pour te chercher, et à l’époque, c’est Adolphe qui
nous a reçus, ici même, dans cet hôtel!
En disant cela, elle regardait Adolphe et a souri,
Adolphe, je me souviens que la première fois que je suis venue ici avec mon père, j’avais à peine huit ans, et la dernière fois que
nous sommes venus ici, j’avais vingt ans, et maintenant j’ai vingt–six ans, et vous n’avez toujours pas changé ici.
Adolphe a souri,
– Four ma part, je n’aime pas le changement, mais c’est surtout parce que je suis paresseux.
Clothilde regardait Clément et a expliqué :
Clément, dans le passé, quand papa et moi venions en Amérique pour te chercher, nous rendions visite à Adolphe, et d’ailleurs,
Adolphe peut faire un rôti de dinde qui est exceptionnellement bon !
Adolphe a demandé :
– Mlle Clothilde, comment avez–vous trouvé M. Clément ? Où l’avez–vous trouvé ?
Clément a répondu :
– M. Adolphe, je suis toujours à la Cité J.
Adolphe s’est exclamé :
Comment est–ce possible? Beaucoup de gens, y compris M. Bitoric, sont allés à la Cité J pour vous chercher au début, mais
personne n’a pu trouver de nouvelles de vous...
Clément a alors dit que Savin l’avait installé dans un orphelinat.
Adolphe l’écouté et s’est exclamé :
– J’ai déjà rencontré Savin plusieurs fois, et j’ai trouvé que c’est un homme très prudent, mais je ne savais pas qu’il serait aussi
rusé. C’est incroyable qu’il ait réussi à vous cacher dans la Cité J sans que personne ne s’en aperçoive, c’est génial !
A ce moment–là, Clothilde a souri et a dit :
– Adolphe, si nous mangions un peu, je suis affamée.
Adolphe a dit à la hâte :
–
Eh bien, Mile Clothilde, M. Clément, asseyez–vous d’abord, je vais aller à la cuisine pour préparer le repas.
Adolphe regardait Clément et a dit avec honte :
–
– M. Clément, mon restaurant n’a pas beaucoup de spécialités, et comme je suis un peu occupé aujourd’hui, je vais choisir les
plats pour vous ! Clément a dit très poliment :
– Merci, merci beaucoup.
– Vous êtes trop poli, c’est ce que je devrais faire ! Asseyez–vous d’abord, j’arrive tout de suite!
A ces mots, Adolphe s’est retourné et s’est précipité dans l’escalier.
Clothilde regardait Clément en souriant et lui a demandé à voix basse:
Clément, tu es encore un peu perdu ?
Clément a souri et a acquiescé,
Un peu... Je pensais que tu m’invitais juste à dîner, je ne m’attendais vraiment pas à rencontrer l’ami de mon père....
Clothilde a sorti son téléphone portable de sa poche et l’a tendu à Clément en lui disant :
– Clément, mon père m’a dit tout à l’heure qu’il fallait que je te fasse entendre ça.
Clément était un peu surpris de voir l’écran du téléphone, une conversation entre Clothilde et son père, Bitoric.
Au bas de l’écran, il y avait un message vocal, et lorsque Clément a pris le téléphone et était sur le point de cliquer sur «< play
», Clothilde s’empressait de l’avertir:
Clément, fais attention!
Clément a acquiescé, et l’a porté à son oreille avant de l’écouter.
Dans l’écouteur, la voix de Bitoric s’est fait entendre, et il a dit très solennellement,
<< Clément, à l’époque, ton père m’a a dit qu’Adolphe était une personne très compétente, alors cette fois, j’ai arrangé une
rencontre entre vous deux, et j’espère aussi qu’il pourra t’aider à l’avenir, alors tu dois saisir cette opportunité !»
Après avoir entendu les mots de Bitoric, Clément était surpris dans son cœur.
Si Bitoric a dit que son père avait reconnu cet Adolphe à l’époque, il était évident qu’Adolphe devait être très compétent et
intelligent. Clément savait aussi très bien au fond de lui que le plus gros problème qu’il rencontrait actuellement était le manque
de talents.
Bien que Clément ait le Dragon Noir, ce dernier était après tout une organisation jouant d’une mauvaise réputation, et les
problèmes que le Dragon Noir pouvait résoudre étaient tous dans le domaine du combat.